Etablissement d’horoscope, nous nous obligeons naturellement à suivre le code de déontologie de la Fédération des Astrologues Francophones (FDAF) que nous partageons.
Principes Généraux
Art.1 : “Les astres inclinent mais ne déterminent pas.”
Art. 2 : L’astrologie se réfère à des valeurs morales prônant la liberté et la spécificité de chaque personne.
Art. 3 : L’astrologie ne prétend pas être une science exacte mais une approche des correspondances entre les configurations astronomiques et les phénomènes (ou structures) du vivant.
La Pratique de l’Astrologie et la Législation
Art. 4 : La pratique de l’astrologie (conseil ou enseignement) implique de se soumettre aux droits et usages en matière d’exercice professionnel dans la mesure où cette pratique correspond à une activité régulière rémunérée.
Dans le cas d’une activité bénévole, il n’est pas nécessaire de se conformer aux règles administratives mais il est vivement conseillé de fonctionner sous l’égide d’une structure associative pour des questions de responsabilité civile.
Si l’activité est exercée à titre occasionnel (cela suppose qu’il n’y ait ni publicité, ni activité régulière), le statut professionnel n’est pas forcément obligatoire mais dans ce cas, les revenus générés par cette activité accessoire et ponctuelle doivent être mentionnés sur la déclaration fiscale personnelle de fin d’année. Il en est de même pour les auteurs, conférenciers ou chercheurs. Il est conseillé de se renseigner auprès des administrations compétentes (le fisc et l’URSSAF).
Ne peuvent figurer sur des listes officielles de praticiens que les astrologues professionnels (déclarés en profession libérale ou salariés) et les bénévoles (administrateurs ou collaborateurs d’association) qui s’engagent par une déclaration sur l’honneur (sur leur bénévolat).
Déontologie spécifique à l’activité de “CONSEIL”
Art. 5 : L’astrologue (membre de la FDAF) ne peut faire usage de l’astrologie que dans une optique d’aide et de compréhension d’autrui (priorité étant donnée à la personne plutôt qu’à la technique). Il proscrit toute pratique ayant trait à la superstition. Il ne doit profiter en aucune manière de la confiance et du pouvoir dont il est investi par son consultant. Il est soumis au secret professionnel.
Art. 6 : L’astrologue (membre de la FDAF) respecte le principe de limite des compétences et n’hésite pas à orienter vers des professionnels spécialisés (psychiatres, psychologues, thérapeutes…). En l’hypothèse d’un doute quelconque, il doit toujours, dans sa pratique, s’entourer d’avis éclairés. Il s’interdit de faire des actes médicaux.
Art. 7 : Dans sa publicité, dans les informations sur ses activités, dans ses propos, l’astrologue (membre de la FDAF) s’abstient de toute démonstration excessive avec des promesses miraculeuses. Il fait preuve de tact et de sérieux. Il aborde toute question prévisionnelle avec la plus grande prudence et s’interdit de prédire formellement des événements touchant à la vie (physique) ou à la santé de ses consultants ou de leurs proches.